Après une bonne nuit, départ à 5h06 au pied du campement, un peu frais comme d’habitude. Patrick va son petit bonhomme de chemin. Nous rencontrons un fermier, qui nous demande d’où nous venons, et éclate de rire quand je lui dis de Sydney !

Bientôt, Pat se sent fatigué et s’inquiète de sa moyenne, il trouve qu’il s’arrête trop, il a des douleurs partout, et surtout aux côtes côté droit.

Il parcours 50 km en 6h38.

Le vent se lève et le ciel se couvre.

Fin de la piste à Orroroo, jolie petite ville touristique au pied des « collines ». Nous croisons des Australiens avec leurs caravanes. Juste à la sortie de la ville, on se croit dans les Alpages, avec bien sûr des côtes à monter, à descendre aussi, mais toujours avec le vent de face qui s’amplifie. Les paysages sont jolis.

Patrick nous dit qu’il ne fera sans doute pas les 100 km aujourd’hui, cela l’ennuie.

A 17h, le vent soufflant en grosses bourrasque et le ciel très menaçant, oblige Fabienne à faire des arrêts plus rapprochés et Patrick stoppe sa course à 17h28 aux 95 km, juste avant les quelques grosses gouttes de pluie (cela ne durera pas).

Nous allons dormir à Wilmington, dans un hôtel au charme ancien, où Pat dévore , un plat de viandes grillées avec des frites ET des pâtes bolognaises.

1 réponse
  1. Josy Hugo
    Josy Hugo dit :

    Tout seul, dans ton désert
    Quand mal, trop mal, on marches à genoux
    Tu verras, l’aube revient quand même
    Tu verras, le jour se lève encore
    Même si tu ne crois plus à l’aurore
    Tu verras, le jour se lève encore
    Le jour se lève encore

    Répondre

Laisser un commentaire

Participez-vous à la discussion?
N'hésitez pas à contribuer!

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *