Lundi 17 Juin jour 30
Départ de Sugar City (Colorado)à 4h25
Ce matin en me levant, je constate que le frigo est éteint, moment de « panique » car j’ai du mal à le rallumer et il est indispensable pour garder nos provisions au frais… Finalement il refonctionne.
A Ordway, une déviation due à un pont coupé, nous oblige à changer l’itinéraire, nouvelle perturbation pour Patrick. Nous passons donc par Crowley, cette petite ville semble moins délabrée que les autres, puis arrivons à Olney Spring, le parc nous offre la possibilité de remplir nos bidons d’eau.
Tous ces village faisaient partie du Canton de Sugar City, ville riche de son industrie sucrière mais dont l’usine a fermé en 1967.
Sitôt sortis d’Olney, nous retrouvons le paysage d’hier, lande et cactus ; traversons Fowler, très jolie bourgade;
Depuis deux jours maintenant ; nous sommes sur un plateau de 1500 m d’altitude
Entre deux arrêts , je fais un gâteau aux pommes.
3000km et vidéo (sur Facebook ) en 29jours 4h 37 »
Au loin la chaîne de montagne du Colorado : « Sangre de Cristo Mountains » , avec des sommets enneigés.
Les vaches dans les pâturages sont très drôles, quand elles voient Patrick arriver, elles se mettent à courir….
Lors d’un arrêt, un long serpent se dore au soleil, juste à côté du camping car, il se sauve lorsque René descend.
15h15, comme tous les jours, le ciel se couvre dans la direction ou nous allons….
16h, l’orage éclate, mais même si les éclairs sont impressionnants, le vent et la pluie sont moins violents que les autre fois, Patrick continue donc la course, sur ce plateau ou il n’y rien pour se mettre à l’abri
100km en 14h28′
105 en 15h08′
Nous dormirons ce soir, dans la montagne sur le parking d’une entreprise d’entretien des routes ou l’on nous accorde l’hospitalité.
Bravo à vous ! Bon courage !
Salut Patrick. Je ne t’ai pas oublié. Seulement te laisser le temps de t’échauffer.
Yes you can. Le mot est faible, mais je te félicite et surtout je t’envoie mes encouragement et amitiés.
Moi, je « canne » moins. Une de mes jambes se comporte bizarrement.
Bises à Fabienne, sans oublier René.