Vendredi 19 Juillet jour 11

4h30 lorsque nous quittons notre parking pour reprendre Country Hills bd, dès 5h la circulation s’intensifie, heureusement, il y a une large place pour courir et se garer,ce qui nouq permet denous arrêter à chaque carrefour pour guider Patrick et lui éviter de prendre les bretelles. Les choses se gâtent un peu lorsque nous atteignons la 16ème avenue, car là, il n’y a plus de place ni pour courir ni pour se garer……

A la sortie de la ville, la circulation se calme un peu, sur la transcanadienne, dans notre sens.

C’est le moment pour René de sortir le vélo pour l’accompagnement, car je dois absolument trouver le moyen d’échanger notre bouteille de gaz américaine vide contre une bouteille canadienne et quelques dollars, et il faudrait aussi trouver de l’eau pour le CC, j’en profiterai pour faire un réapprovisionnement au Walmart tout proche.

Sur la route qui mène au centre commercial, j’ai la surprise de voir un panneau avec un kangourou !

Et non, je n’ai pas la berlue/ il y a tout près un parc d’attractions avec des kangourous.
Pas de souci pour le gaz, puisque je trouve un distributeur automatique.

Les courses faites, je vais dans un camping demander de l’eau qu’on me donne sans problèmes, je fais le plein de gasoil et hop,nous voilà parés pour quelques jours , je file retrouver le reste de l’équipe. Le paysage a bien changé, finit les montagnes et les collines, même si on les aperçoit encore derrière Calgary, maintenant nous sommes sur du plat avec beaucoup de petits lacs et mares, des cultures et de l’élevage.

Le reste de la journée se déroule bien, rien de particulier dans le paysage, mais aux arrêts nous observons le manège de petits chiens de prairie qui occupent le terrain. Patrick court très régulièrement, poussé par un vent un peu fort qui s’accentue au fil des heures, nous devons faire très attention en ouvrant les portières. La journée est restée maussade, les « crew » ont gardé leur vêtements chauds et Pat n’a pas quitté sa veste.

La journée se termine près de Gleichen, dans la communauté indienne de Sisiska, où la les gens semblent très accueillants, en l’espace de deux minutes, deux voitures s’arrêtent pour nous demander si nous cherchons quelque chose et si tout va bien… sous le vent et le crachin.

Lorsqu’il s’arrête Patrick a beaucoup de mal à se réchauffer, il grelotte et hésite même à aller se doucher.
Nous dormons sur le parking d’une station essence à Sisiska Nation.

50 km en 7h23′
100 km en 14h40’18 »
110 km en 16h11

https://connect.garmin.com/modern/activity/3862711805

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